Les valeurs et principes de la FCPE Marne

Dans notre pays, l’école publique est, par principe, l’école de l’égalité. Elle aide à la formation de tous les citoyens, ne pratique aucune discrimination et ne reconnaît aucun privilège. La FCPE Marne agit pour que le système éducatif ne reproduise pas, ne conforte pas et n’aggrave pas les inégalités issues des différences socio-culturelles ou socio-économiques. Nous revendiquons une école centrée sur les besoins de l’enfant, qui prenne en compte ses aspirations et ses aptitudes. 

L’action collective

Depuis son origine, la FCPE Marne, comme la FCPE nationale fondent leurs démarches sur la mise en commun des expériences, le respect des différences, la confrontation des idées ; elle milite pour que ces mêmes principes soient mis en application au sein du système éducatif.

La laïcité

« La FCPE Marne et Nationale est très attachée au respect de la laïcité, tout particulièrement dans le cadre de l’école publique. La laïcité , enjeu démocratique et républicain important pour le fonctionnement et la pérennité de la vie collective de notre pays, concerne toute la société et pas seul le système éducatif. Néanmoins, l’école publique, institution de la République, conserve un rôle pivot dans ce domaine. « 

L’égalité

« Le service public permet d’assurer l’égalité d’accès à tous les citoyens à la santé, à l’éducation, à la justice, à la culture, aux transports… en tout point du territoire métropolitain et d’outre-mer.
L’école publique n’a pas à être victime des inégalités territoriales pouvant être aggravés par le désengagement de L’État. »

L’enfant d’abord

Tout au long de son histoire, la FCPE a placé l’enfant au centre de ses préoccupations et du système éducatif.

La réussite de tous

« Ce sont toutes ces personnes, ces équipes pédagogiques, ces établissements scolaires qui cherchent, créent, innovent dans le but de ne laisser aucun élève au bord de la route. Ils sont nombreux, peu connus. »
( Conseil économique social et environnemental )

La coéducation

« La coéducation, partage de l’acte éducatif et des responsabilités éducatives entre la famille et les autres éducateurs potentiels, commence dés la petite enfance, lorsque l’enfant est confié par ses parents à des tiers.
Mais, pour que la coéducation ne soit pas une utopie, une volonté politique forte est nécessaire, sur le terrain comme dans les ministères.
Faire vivre la coéducation suppose que chacun soit conscient de son rôle et de celui des autres acteurs ».